Découvrez les grandes thématiques de Cinélatino 2024

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Cette année, Cinélatino explore...

Horro.r.mex
Vampires et tremblements au pays des cactus

Une section en coproduction avec La Cinémathèque de Toulouse sur le cinéma fantastique mexicain. Habité par des monstres, des vampires ou des revenants, il se nourrit de légendes et folklore, et vagabonde dans les registres du drame, de l’horreur et de la comédie.

Salut les Cubains ?
Résister à l'effacement

Cuba, dont le cinéma a été le fleuron de l’Amérique latine, vit une période complexe, post-castriste et toujours affaiblie économiquement par l’embargo étatsunien. Pourtant les artistes, souvent contraints de partir à l’étranger, innovent encore et trouvent des formes cinématographiques pour raconter de nouvelles histoires. Cinélatino part en quête de ce cinéma de la diaspora et de l’exil. En outre, nous ne pouvons résister à l’idée de vous présenter l’œuvre de Nicolás Guillén Landrián. Ce documentariste, dissident de la période castriste, censuré et ostracisé pendant 30 ans, a bousculé sans cesse les codes du documentaire et de la pensée dominante. Il est aujourd’hui un auteur inspirant pour les nouvelles générations de cinéastes.

Invitée d'honneur : Teresa Sánchez, artiste hors normes

Et vous rencontrerez notre invitée d’honneur ! L’actrice mexicaine Teresa Sanchez, loin des paillettes et des stéréotypes, exerce ses multiples talents dans les arts de l’image et du son. Elle est actrice, productrice, réalisatrice, marionnettiste, enseignante, dramaturge, chanteuse et compositrice. Une créatrice foisonnante et généreuse, dont l’interprétation a été primée à plusieurs reprises. Vous l’avez vue dans La Camarista, Noche de fuego, Tótem (Prix du public 2023), Dos estaciones (Grand Prix Coup de Cœur 2023).

Casa Creativa Diluvio
Créatures étranges et lumières souterraines

Enfin, la section Otra Mirada, celle du regard curieux, réunit les travaux de la collection chilienne Diluvio, films collectifs et individuels de Cristóbal León, Joaquín Cociña, Alejandra Moffat et Niles Atallah. Les courts-métrages se détournent des formes communes du cinéma par l’irruption, l’expérimentation esthétique dans la banalité du quotidien pour y introduire une réflexion politique. Dessins, objets, photos, grattage, stop motion, l’animation, souvent alliée à la musique, explore librement les arts graphiques.