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Le n°30 de la revue Cinémas d'Amérique latine est en vente au prix de 15€.

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Les numéros 28 et 30 réunis, comportent plusieurs articles concernant l'œuvre de Patricio Guzmán

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Présentation de la revue :

Trente ans, ce n'est rien...” (sur un air de tango)

Ainsi titrait son article le fondateur de la revue, Paulo Antonio Paranaguá, saluant les 30 ans des Rencontres en 2018. Nous y voilà ! Ce numéro “anniversaire” de Cinémas d'Amérique latine, 30 ans cette année, rappelle le rôle qu'a tenu la revue depuis l'origine, pour l'ensemble des cinémas du continent Sud.

Les contributions régulières au fil des années des auteurs et autrices de ses articles sont rappelées par un message amical de leurs plumes et ouvrent le numéro.

Un dossier, important par son objet que, jusqu'ici, nous n'avons jamais abordé avec cette ampleur, revient sur la mémoire de ces cinémas par le traitement des archives, de leur histoire, de leur conservation par les cinémathèques, de leur exploitation et usage contemporains. Nous n'oublions pas, dans cette démarche de préservation, de mentionner la volonté essentielle des Universités, des établissements publics ou privés et des initiatives personnelles. Ainsi, conserver, établir la chronologie, remployer ces archives, voilà la tâche que soulignent dans ces articles et entretiens, les différentes démarches exercées sur ce matériau sensible, toujours vivant, toujours actuel.

Dans un article très personnel, le témoignage de João Paulo Miranda, réalisateur de Casa de antiguidades primé l'année dernière à Cinélatino, est précieux, car il souligne avec émotion le chemin parcouru par ses projets, présents dans les dispositifs mis en place depuis longtemps déjà par les Rencontres, Cinéma en Développement et Cinéma en Construction.

Suit un long entretien avec Patricio Guzmán, présent à Cinélatino cette année, qui évoque l'expérience documentaire extraordinaire de ce cinéaste qui termine son dernier film Mi país imaginario, en cours de montage.

Et comme il n'y a pas d'anniversaire sans cadeau, la revue est heureuse de publier le “Journal de tournage” de notre amie Magali Kabous qui, de passage à Cuba, a pu se glisser sur le plateau des deux dernières nuits de tournage du dernier long-métrage de Fernando Pérez. Remercions-la pour ce présent.