FIESTA CINÉLATINO - SAMEDI 22 MARS
DANS LA COURS DE L'ESAV - 56 RUE DU TAUR, 31 000 TOULOUSE
OUVERTURE DES PORTES À 19H - DÉBUT DES CONCERTS 19H30
PETITE RESTAURATION SUR PLACE: TAPAS Y EMPANADAS
P.A.F 6€
LA CEIBA - Toulouse
Julia, Sylvain, Alexis et Jonathan : quatre artistes confirmés. Quatre personnalités qui partagent avec générosité leur amour des musiques populaires et ensoleillées.
Merengues de République Dominicaine, forros du Brésil, cumbias, curulao, bullerengue et autres folklores de Colombie... La Ceiba réinvente les classiques de l'Amérique Latine en y insufflant des touches de jazz et des sonorités novatrices.
L'instrumentation atypique (Percussions, guitare, flute, clarinettes et chants) contribue au son inimitable du groupe toulousain.
A l'appel de ce quartet unique en son genre, le public est convié à un véritable voyage musical : vous serez emportés !
Diente de oro
PASCUALA ILABACA Y FAUNA - CHILI
Pascuala Ilabaca est l’une des figures emblématiques de la foisonnante génération de jeunes auteurs-interprètes Chiliens. Sa musique est enracinée dans des sonorités traditionnelles en y incorporant des touches de jazz, pop et rock ainsi que de toutes les influences qu’elle a rencontrées au cours de ses voyages en Inde ou au Mexique. Sur scène, elle dispose d’une présence extraordinaire, presque toujours équipée de son accordéon, sa voix a le
pouvoir d’adoucir les rythmes et les mélodies du groupe qui l’accompagne: Fauna.
Pascuala Ilabaca est née à Valparaíso en 1985 et s’est intéressée à la musique depuis son plus jeune âge. Elle l’a étudiée à l’Université Pontifical de sa ville natale mais a très vite compris qu’elle devrait s’affranchir des règles imposées par ses professeurs pour mieux s’exprimer.
Dans son premier album “Pascuala canta a Violeta” (2008), rempli de chansons basées sur le folklore Chilien, elle incorpora une table Hindu et des guitares électriques.
“Pascuala canta a Violeta” fut un hommage à Violeta Parra, artiste Chilienne des années 50 et sa plus grande source d’inspiration. Cet hommage persuada la présidente Chilienne de l’époque Michelle Bachelet, de l’inviter à une série de concerts en Inde où Pascuala Ilabaca avait passé une partie de son enfance.
Convaincue de la nécessité de briser les schémas classiques de la musiques, Pascuala Ilabaca s’installe à nouveau en Inde pour un an afin d’étudier en profondeur les mélodies de ce pays asiatique. De cette expérience naitront deux albums tous deux sortis en 2010:
“Perfume o Veneno” très fortement influencé par la musique Hindu et le deuxième, enregistré avec Fauna, “Diablo Rojo, Diablo Verde” qui explore plus en profondeur les sons Chiliens comme le cumbia, troteor et la Cueca. Elle n’a cependant pas omis d’ajouter ses propres ingrédients aussi bien modernes que folkloriques.
“BUSCO PARAÍSO”
Le troisième album de Pascua Ilabaca, “Busco Paraiso”, est une étape de plus dans la fusion des musiques traditionnelles Chiliennes avec d’autres rythmes. Cette fois-ci, l’auteur compositeur a été influencée par la musique Indie, en incorporant des arrangements caractéristiques de bruits (“El tren a Kanyakumari”) et de batteries (“No es nuez”). On trouve aussi de nombreux éléments de Jazz et rock et toujours avec sa voix douce, son accordéon et les racines folkloriques de sa musique. L’album a été très bien reçu au Chili, encensé par la critique et est le premier album téléchargé au Chili. Enfin, elle a aussi remporté le prix "Vox Populi" du meilleur album de "World Beat" du "Independent Music Awards" des Étatsunis.
Vous écoutez "Busco Paraíso"
DENGUE DENGUE DENGUE - PEROU - (ELECTRO)
Le son de Dengue Dengue Dengue est une fusion psychédélique de cumbia, dance hall et techno dans un style tropical explosif. Les mélodies issues de la cumbia amazonienne des années 70 se mêlent avec audace aux lignes de basse lourde et aux vibrations profondes de l’électro, du dubstep et de la drum&bass. Mélange éclectique et réussi d’une musique traditionnelle de la jungle et de rythmes urbains frénétiques, les cumbias de Dengue Dengue Dengue engendrent une énergie délirante sur la piste de danse.Derrière les masques se cachent Felipe Salmon et Rafael Pereira, deux producteurs, DJs et graphistes de Lima-Pérou. Lors de leurs performances live, ils s’unissent à Nadia Escalante (VJ Sixta) pour créer un spectacle audiovisuel complet et impeccable, talent pour lequel ils sont immédiatement reconnus dès le milieu de l’année 2010.
Chaque performance est accompagnée de visuels et de masques délirants.
Début 2011, ils commencent à publier leurs propres productions, à travers les blogs et les plateformes spécialisées parmi les plus importants du milieu, aux Etats Unis, en Europe, et au Royaume-Unis. Leur son unique se propage rapidement, et se fait entendre dans les plus grands festivals et concerts de Lima. Avec le « Collectif Auxiliar », ils démarrent le projet des soirées « TOMA ! », aidant ainsi à consolider une scène créative et innovatrice de la « tropical bass » à Lima.
En 2012, ils lancent leur premier album, intitulé « La Alianza Profana » et leur première vidéo pour le single « Simiolo ». L’album et la vidéo, publiés par la maison de disque péruvienne Auxiliar, reçoivent un accueil sans précédent de la part du public et de la presse, au niveau national et international. Le son de l’album arrive jusqu’aux oreilles de la maison de disque Chusma Record qui le ré-édite en 2013, pour l’Europe, le Japon et l’Océanie.
Plus tard cette année-là, le trio DDD! joue au NOVA Art Festival à Sao Paulo, Brésil, et pour la IIIe Biennale Ibéro-Américaine de Design à Madrid, en Espagne.
Simiolo